Archives de catégorie : Apprentissage

Lutter contre le stress des examens grâce à l’hypnose

Voilà, c’est la dernière longueur pour beaucoup de jeunes : derniers partiels, épreuves de bac écrites, prise de parole devant un jury… Le stress des examens monte et fait douter de sa réussite ? Et si vous faisiez appel à l’hypnose, pour mettre vraiment toutes les chances de votre côté ? Comme cette collègue, en cabinet, j’utilise également l’EFT en plus de l’hypnose, et aussi le RITMO, une technique dérivée de l’EMDR renforcée par l’hypnose – et donc doublement efficace.

Encore une fois, prévoyez du temps pour ce travail : 1 seule séance pour régler tout ça, c’est irréaliste et même néfaste, car ça risque de renforcer la croyance que “rien ne marche” 🙁 alors que bien souvent, ce stress ne fait qu’augmenter au fur et à mesure des années de scolarité : quelques heures de travail en séance pour contrebalancer plusieurs années de stress, avouez que c’est un bon rapport qualité-temps 😀 !


  Actualité  

Lutter contre le stress des examens grâce à l’hypnose

Publié le 02/06/2016

Combattre le stress des examens par l'hypnose

Vous avez tout essayé pour combattre le stress qui vous empêche de réussir vos examens. Bien manger, vous coucher tôt, prendre des cours de yoga, écouter de la musique pour vous détendre, rien à faire, il vous poursuit. Et si l’hypnose pouvait résoudre votre problème de stress aux examens ? C’est ce que nous promet Élodie Repellin, fondatrice de Trust You, l’agence de la confiance en soi. Sa méthode : vous apprendre à « gérer » votre cerveau.

Élodie Repellin

Propos recueillis par Aziza Sellam

Quelles sont les causes du stress aux examens ?

«  Il existe plusieurs sources de stress aux examens. Mais il faut différencier bien évidemment le bon stress qui va donner de l’énergie, un désir d’apprendre, de réviser, d’être à la hauteur de ses espérances et du mauvais stress. Le mauvais stress est celui qui, avant l’examen, bloque la concentration, la mémorisation, la capacité d’organisation et de priorisation des révisions. L’élève peut avoir ce sentiment qu’il n’aura jamais le temps de Continuer la lecture

L’hypnose présente à la Foire de Paris 2015

L’hypnose présente à la Foire de Paris, en mai prochain ? Excellente nouvelle pour ceux d’entre vous qui s’y rendront ! Alors, rendez-vous au Pavillon 5.1 ?


Syndicat National des Hypnothérapeutes
lundi 13 avril 2015, 09:30

Le SNH sera présent à la Foire de Paris “Santé-Bien être”.

Le Pavillon 5.1 sur « L’espace Bien-être by Côté Santé » nous accueillera pour 4 conférences au public, et soutenir l’annuaire des Hypnothérapeutes adhérents au SNH avec distributions de flyers.

Retrouvez-nous :

  • Le 1er mai à 11h00 : Les troubles du comportements alimentaires (Patrick Duquoc et Irene Cazanave)
  • Le 8 mai à 14h00 : L’Hypnose pour la mémoire et l’apprentissage (Michel Wozniak)
  • Le 9 mai à 16h00 : Hypnose et Stress (Erick Fink)
  • Le 10 mai à 12h00 : Les troubles du sommeil (Charlotte de Bouteiller et Lionel Vernois)

Source : page Facebook du Syndicat National des Hypnothérapeutes

Relâcher le contrôle cognitif pour mieux apprendre ?

Et si trop mentaliser empêchait d’apprendre de manière simple ? Cet article propose une piste intéressante pour mieux apprendre, car il semble que maintenir un contrôle cognitif empêche les différentes aires perceptives de faire leur travail…


Neurosciences

Pour apprendre, le cerveau doit se relâcher

Publié le 06.04.2015 à 20h35

Une méthode innovante pour analyser l’évolution des schémas cérébraux suggère que les sujets apprennent d’autant mieux qu’ils « débrayent » leur contrôle cognitif.

Bassett et al., Nature Neuroscience

Pourquoi certaines personnes apprennent-elles plus vite que d’autres ? Une équipe de chercheurs américains regroupés autour de Scott Grafton, spécialiste en neurosciences à l’université de Santa Barbara, propose une réponse : c’est la capacité à spécialiser son cerveau et à, en quelque sorte, lui « lâcher la bride », qui fait la différence.

Un apprentissage étendu sur un mois et demi

En neurosciences, tout commence souvent par une tâche. Celle proposée aux sujets de cette expérience n’avait Continuer la lecture

Imagerie médicale et hypnose

Heureux qui a vu le cerveau sous hypnose en imagerie médicale ! On sait que le cerveau ne fait pas la différence entre le rêve et la réalité. De ce fait, il ne fait pas non plus de différence entre ce qui est vécu durant une séance d’hypnose, et ce qui est vécu dans la réalité. En conséquence, une fois revenu dans la réalité, c’est comme si la situation avait déjà été vécue. “Et du coup, ça se passe beaucoup plus comme on l’avait souhaité” ! (voir Auto-hypnose et burn-out). D’autant que maintenant, les preuves scientifiques sont là !


Des bases scientifiques plus solides

Les progrès de l’ imagerie cérébrale et des neurosciences permettent de mieux comprendre l’état hypnotique et ses bénéfices thérapeutiques.

 23/3/15 – 15 H 20| LaCroix.com

L'imagerie médicale prouve les effets de l'hypnose sur le cerveau

L’imagerie médicale permet de comprendre le fonctionnement du cerveau en activité pendant l’hypnose. / ZEPHYR/SPL/COSMOS/

Après avoir été largement utilisée jusqu’en 1920 (pour soigner notamment les traumatismes de la Grande Guerre), l’hypnose a été délaissée par les médecins pendant le reste du XXe  siècle, avant qu’ils s’en emparent à nouveau à l’aube des années 2000. Ce regain d’intérêt est lié en grande partie à l’essor récent des neuro­sciences cognitives, qui l’ont sortie des pratiques un peu « magiques » en lui conférant une objectivité.

Les progrès de l’ imagerie cérébrale, notamment le TEP (tomographie par émission de positrons) permettant d’observer un cerveau en activité, ont élucidé les mécanismes qui entrent en jeu. « On a pu montrer qu’il s’agissait d’une fonction cérébrale cognitive, en lien avec Continuer la lecture

Dormir pour mieux apprendre

Apprentissage
Une étude du réseau Morphée publiée le 2 mars 2015 nous alerte sur l’usage des écrans chez les jeunes. Ce sont ainsi 15 % d’entre eux qui envoient des SMS en cours de nuit et 11 % qui se connectent aux réseaux sociaux. L’étude conclut à l’impact négatif des technologies sur le temps de sommeil. Quelles sont les répercussions sur la mémorisation ? Explications dans cet article d’archive signé Géraldine Rauchs, chercheur en neuropsychologie.

Dormir pour mieux apprendre

Une étude du réseau Morphée conclut à l’impact négatif des technologies sur le temps de sommeil. Pourtant les adolescents ne devraient pas le négliger : la mémorisation à long terme d’informations pertinentes est Continuer la lecture

Le jour où je me suis aimé pour de vrai…

http://www.lhebdoduvendredi.com/article/13047/troyes_expose_son_coeur

Le coeur de Troyes est une oeuvre commune du couple d’artistes Michèle et Thierry Kayo-Houël

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai compris qu’en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…
Estime de Soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et
Ma souffrance émotionnelle,
N’étaient rien d’autre qu’un signal
Quand je vais contre mes convictions.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…
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Imaginer, c’est réussir

Tout grand sportif s’entraîne mentalement. La gymnaste imagine et répète son enchaînement à la poutre, sans réellement l’exécuter. C’est une clé de la performance. Les neurosciences nous expliquent les secrets de cette technique.

Aymeric Guillot

Avant de monter sur la poutre, la gymnaste imagine précisément tous les mouvements qu'elle va réaliser. Une garantie de réussite.

Avant de monter sur la poutre, la gymnaste imagine précisément tous les mouvements qu’elle va réaliser. Une garantie de réussite.

L’essentiel
– L’entraînement mental consiste à imaginer un mouvement et les sensations qu’il provoque.
– Il active des régions cérébrales semblables à celles mises en œuvre lors de l’exécution réelle d’un geste.
– Les sportifs utilisent ce travail mental, en complément des entraînements physique et tactique.

L’auteur

Aymeric Guillot est professeur de neurosciences à l’Université Claude Bernard Lyon 1, dans le Centre de recherche et d’innovation sur le sport.
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