Un protocole de recherche sur la cohérence cardiaque chez les sportifs

Grâce à des milliers d’études réalisées par le corps de recherche médicale, on sait que la cohérence cardiaque fonctionne, et on en connaît même de mieux en mieux les effets bénéfiques et l’impact bienveillant sur le fonctionnement de notre corps.
Pour ceux que ça intéresse, voici décrit ici un processus de recherche sur les effets de la cohérence cardiaque, et les premiers résultats découverts


VFC, cohérence cardiaque et respiration contrôlée : comprendre le protocole de recherche | Sciences Nat’, lycée comte de Foix

Publié le 21 février 2014

Damien Saboul et Pascal Balducci travaillent sur l’étude de la Variabilité de la Fréquence Cardiaque (=VFC) chez les athlètes. Ils cherchent, par des mesures régulières, à mesurer l’état de fatigue, ou de forme, des athlètes dans le but d’optimiser la planification de l’entraînement.

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Des scientifiques découvrent, dans les cellules du corps, des circuits de signalisation similaires à des puces électroniques

Quand chacune de nos milliards de cellules se comporte comme un microprocesseur capable de se modifier à la demande, en induisant des changements nanométriques à l’échelle de l’expression de nos gènes…

Et c’est exactement sur cette compétence innée que je vous fais vous appuyer lors d’une séance MIRTE, vous rendre votre connaissance à avoir un pouvoir sur votre corps et en sa capacité à se régénérer


Des scientifiques de l’Université d’Edimbourg ont capturé les toutes premières images du réseau nanométrique de nos cellules, surnommé “cell-wide web”. Les résultats révèlent que les cellules du corps seraient câblées comme des puces électroniques, afin de diriger des signaux indiquant leur fonctionnement. Mais contrairement aux circuits imprimés de nos appareils électroniques, les cellules peuvent recâbler rapidement leurs réseaux de communication afin de modifier leur comportement. Continuer la lecture

Arrêter de fumer sans grossir, pourquoi choisir ?

Prendre du poids est souvent l’une des grandes craintes des fumeurs qui veulent arrêter de fumer – même si ça peut sembler étonnant à un non-fumeur de comparer deux “risques” si différents, finalement…
Cependant, avec l’aide de l’hypnose, on n’a pas obligatoirement à grossir en arrêtant de fumer.
Même, pas mal de mes clients me disent avoir perdu du poids. Et c’est évident, quand on y pense : le corps essaie d’éliminer très rapidement tous les poisons ingérés de la cigarette, et consomme donc pas mal d’énergie pour ça (227 calories, dit l’article). Lorsqu’on arrête de fumer, plus besoin d’utiliser cette énergie. Donc plus besoin non plus de l’apporter au corps en la mangeant ! Pour peu qu’on y soit attentif, la satiété arrive plus vite, et on mange moins… Et donc on maigrit !
Mais le plus simple, en réalité, c’est encore de tester : ne me croyez pas,
venez plutôt essayer !


Pourquoi arrêter de fumer fait-il grossir ?

Arrêter de fumer conduit à consommer 227 calories en plus chaque jour. Mais le surpoids est moins dangereux que le tabac.

Anil Batra 1mn • Publié le 16/11/2016 à 09h00

personne en surpoids sur sa balance
© Kittichai/Shutterstock.com

Tous les fumeurs qui essaient d’arrêter le savent : ils vont devoir compter sur quelques kilos en plus. Ce fait a été documenté dès 1982 par de premières études ayant montré qu’en moyenne, un an après le sevrage, les gens prennent entre 3 et 5 kilos. Une experte du diabète, Claudia Filozof, a même réalisé une synthèse des recherches sur ce thème qui montrait

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A quoi ressemble l’activité neuronale dans votre cerveau ?

L’hypnose n’est “que” une manière particulière d’utiliser notre cerveau pour en modifier l’un des comportements, et le reprogrammer.
Mais vous êtes-vous jamais demandé.e à quoi ressemble l’activité cérébrale qui y règne ?
Comment s’y manifestent nos pensées ? Quels phénomènes s’y produisent lorsqu’on “pense” ?

Alors voici une courte vidéo (1:24 mn) qui va vous émerveiller :

neuroscapelab
20 mai 2016
http://neuroscape.ucsf.edu/glassbrain

Il s’agit d’une visualisation cérébrale 3D anatomiquement réaliste illustrant l’activité localisée à la source en temps réel (puissance et connectivité « effective ») à partir de signaux EEG (électroencéphalographiques). Chaque couleur représente la puissance et la connectivité de la source dans une bande de fréquence différente (thêta, alpha, bêta, gamma), et les lignes dorées représentent

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Soigner les traumatismes

On pourrait se dire que plus notre monde évolue, et plus il devient confortable à vivre. Hélas, l’actualité inquiétante, un monde professionnel de plus en plus exigeant, l’obligation accrue de performance, les séparations familiales… Tout concourt à ce que notre compréhension du monde devienne partielle et partiale. Au risque de mal interpréter les signaux qu’on en perçoit – et que ça nous marque de façon de plus en plus profonde, impactant ainsi notre façon de vivre.

De ce fait, l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing, autrement dit Retraitement et Désensibilisation par les Mouvements Oculaires) permet de vaincre cette “mésinterprétation” des informations traumatiques, mais est réservée aux psychologues et médecins dûment formés. En cabinet, j’en utilise une version en hypnose sous la forme du RITMO (enseigné par Lily Ruggieri) — pour accompagner votre mieux-être !


Santé : le succès de l’EMDR, cette nouvelle thérapie qui soigne les traumatismes

Mais de quoi s’agit-il ? L’EMDR est une nouvelle thérapie qui permet de transférer un souvenir traumatisant vers une zone où il est stocké, sans la charge émotionnelle. Explications.

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A Reims, l’hypnose proposée en recours contre l’obésité

L’hypnose n’est pas qu’un phénomène de spectacle, loin de là : c’est aussi et surtout un outil de développement personnel, capable de nous conduire à nous dépasser, à nous améliorer et à devenir plus capable que ce qu’on croyait.

On sait qu’elle permet d’arrêter de fumer, de retrouver sa confiance en soi, et de pouvoir reprendre l’ascenseur. Mais elle fonctionne aussi sur toutes les pulsions, comme les TOC ou les compulsions alimentaires, qu’il s’agisse d’une “simple” gourmandise un peu trop envahissante ou d’une réaction à un contexte émotionnel complexe.

Alors si vos comportements alimentaires vous agacent, vous ne risquez pas grand chose à essayer cette méthode !


A Reims, l’hypnose proposée en recours contre l’obésité

L’Union – Mis en ligne le 9/06/2019 à 17:40

Nathalie Richard : « L’hypnothérapie n’est malheureusement pas reconnue comme une médecine ». – A.P.

L’hypnose au secours des obèses ? Effectivement, c’est l’un des recours proposés par la clinique Courlancy de Bezannes à ceux qui souffrent d’un excès de poids.

Une réunion d’information vient de se tenir sur le sujet. Face à une demi-douzaine d’auditeurs (en réalité d’auditrices) Nathalie Richard, hypnothérapeute, a présenté les grandes lignes de ses prestations. « Il n’y a pas de solution miracle, a-t-elle rapidement mis en garde, pour que ça marche il faut vraiment être bien motivé au départ : il faut vraiment avoir envie de suivre ces séances d’hypnose, sinon, on ne sera pas dans le “lâcher prise”  », ce dernier étant la condition sine qua non de l’efficacité du procédé selon la spécialiste.

Chacun de nous expérimente l’hypnose tous les jours toutes les 90 minutes en moyenne, sans s’en apercevoir

Hypnose. Le mot peut tout de même intriguer, voire inquiéter au départ. La praticienne s’est attachée à dédramatiser, à replacer les choses à leur juste niveau : « L’hypnose n’est en définitive qu’un état de conscience modifié, et c’est un état naturel à l’homme ; chacun de nous l’expérimente tous les jours toutes les 90 minutes en moyenne, sans s’en apercevoir bien souvent. C’est une sorte de rêverie entre le sommeil et la conscience. Il ne vous est jamais arrivé par exemple quand vous conduisez, de vous dire : Tiens, je ne pensais pas être déjà arrivé là ? C’est que pendant quelques instants, vous vous êtes retrouvé en état d’hypnose.»

[ Continuez la lecture de l’article sur le site de L’Union ]

Source : https://abonne.lunion.fr/id71177/article/2019-06-09/reims-lhypnose-proposee-en-recours-contre-lobesite

Jouer n’est plus fumer !

Ca, c’est un jeu malin… et utile !


 Journée sans tabac : « Smokitten », un jeu sur téléphone pour arrêter de fumer

TABACLa start-up lyonnaise Dowino va commercialiser en septembre une application pour aider les fumeurs à stopper leur consommation de cigarettes…

Caroline Girardon Publié le 31/05/18 à 09h05 — Mis à jour le 31/05/18 à 09h05

Le jeu Smokitten, censé aider les fumeurs à arrêter, sera commercialisé en septembre.

Le jeu Smokitten, censé aider les fumeurs à arrêter, sera commercialisé en septembre. — PURESTOCK/SIPA

  • A l’occasion de la journée mondiale sans tabac, zoom sur une initiative lyonnaise de l’entreprise Dowino qui a mis au point une application pour arrêter de fumer.
  • Le jeu, qui n’est pas sans rappeler Candy Crush, sera commercialisé en septembre.

Un jeu qui vous rend tellement accro que vous en oubliez de fumer. Continuer la lecture

3 stratégies pour gérer les pensées obsessionnelles

Idées noires, pensées obsessionnelles, préoccupations mentales négatives… Elles sont capables de nous ronger au point d’empêcher notre sommeil et de peser sur notre vie.

Il existe des astuces pour les apaiser et retrouver un peu de sérénité – même s’il sera nécessaire, pour les vaincre, de faire un vrai travail thérapeutique.


3 stratégies pour gérer les pensées obsessionnelles

5 août 2018 – Source : Nospensées.com

Gérer les pensées obsessionnelles est une tâche ardue. Cela nécessite une volonté et une discipline énormes. C’est un combat sans trêve contre nos propres ressources mentales, souvent inconscientes. De plus, seuls ceux qui sont victimes de ce type d’idées savent combien il peut être difficile de s’en détourner. Une partie de nous veut quitter l’enclos, une autre partie lutte farouchement pour que tout reste pareil.

Pour gérer les pensées obsessionnelles, la première étape consiste à comprendre de quoi il s’agit. Sont baptisées de ce nom ces idées intrusives qui tendent à se fixer à l’esprit et, dans de nombreux cas, deviennent récurrentes. Elles se présentent à nous de manière involontaire. Elles Continuer la lecture

Imaginer, c’est presque réel !

Je dis en séance que le cerveau ne sait pas faire la différence entre le réel et l’imaginaire !

Voici justement un bref article de “Cerveau et Psycho” de janvier 2019, qui explique cette fonction du cerveau…

… Et voilà pourquoi les techniques que j’utilise pour agir sur les souvenirs traumatisants du passé fonctionnent 😉


 

Imaginer, c’est presque réel !

Quiconque a un jour été happé par la lecture d’un roman palpitant sait que le sentiment d’immersion peut être total. Certains sons, par exemple, peuvent imaginés de la même façon qu’ils sont entendus par le cerveau. Ce phénomène a été quantifié par des neuroscientifiques de l’université du Colorado qui ont placé des volontaires dans une IRM, et leur ont demandé d’imaginer un son précédemment associé à une émotion négative. Ils ont alors observé l’activation du même réseau d’aires cérébrales (le cortex auditif, le noyau accumbens et le cortex préfontal ventromédian) que pour la véritable écoute du son.

Pour traiter les traumatismes, on demande souvent aux sujets de s’exposer aux scènes pénibles jusqu’à ce que leur charge émotionnelle s’atténue. Elles pourraient à présent le faire… en les imaginant

S.B.