Archives de catégorie : Gestion du stress

Enfant Stressé : Pourquoi son cerveau perd soudainement ses moyens ?

Un vieil article qui, en cette période d’examens qui vient de s’achever, retrouve tout son intérêt pour expliquer pourquoi votre enfant stressé a pu perdre leurs moyens durant les épreuves, écrites et/ou orales – et pourquoi les adultes se sentent aussi parfois comme un lapin dans les phares d’une voiture !

Et maintenant que vous savez ce qui se passe, voici de quoi mettre toutes les chances du côté de votre enfant (et du vôtre) pour la prochaine rentrée !


Pourquoi le cerveau de votre enfant stressé perd ses moyens : 3 étapes pour en sortir !

Jan 6, 2016 – by Magali

Ca va pas le faire, cet exercice de maths !

Voilà un rituel dont vous aimeriez bien vous passer : votre enfant ouvre ses devoirs de maths le soir à la maison… et c’est la panique à bord ! Vous retrouvez votre enfant stressé, qui perd tous ses moyens, incapable de répondre à la moindre question d’un exercice pourtant à sa portée.

Vous allez (enfin !) comprendre ce qu’il se passe dans la tête de votre enfant stressé

J’ai eu la chance de suivre il y a 6 mois une formation rare de Carlotta Raby, spécialiste en enfants stressés. Et plus particulièrement experte en diagnostic et traitement du syndrome du stress post-traumatique chez les enfants.

Si la formation était centrée sur le diagnostic des cas extrêmes – le stress post-traumatique, c’est quand un enfant vit une expérience dans laquelle il se dit à un moment « je vais mourir » – elle proposait une explication lumineuse et simple des effets du stress quotidien sur le cerveau, que je vous propose de partager ici.

Cela va vous permettre de comprendre ce qui se passe dans le cerveau de votre enfant stressé quand il se retrouve soudain en panique devant un problème de maths, que cela se manifeste par une crise de larme, un refus catégorique de faire ses devoirs, ou le grand classique « j’suis nul, j’déteste les maths ».

Vous allez découvrir qu’effectivement, à ce moment là, votre enfant est parfaitement incapable de résoudre ce problème qui vous paraît pourtant évident et à sa portée.

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Se plaindre vous empoisonne lentement

Tout le monde dit que les gens qui se plaignent sont pénibles. Mais au-delà de ce simple constat, se plaindre entraîne de terribles conséquences sur la santé physique et mentale de ceux qui se plaignent, et de ceux qui entendent ces plaintes…

D’où l’importance de choisir ce à quoi on pense !


Une nouvelle recherche révèle que se plaindre aurait de mauvaises conséquences

de | 15 avril 2016
Se plaindre rend physiquement et mentalement malade

Image Crédit : upliftconnect.com

 

Tout le monde le fait à un moment ou un autre, mais jusqu’à quel point la plainte est-elle bonne pour la santé ? On pourrait la considérer comme une simple décharge de frustration et la justifier comme un moyen nécessaire pour rester sain d’esprit.

La personne moyenne se plaint au moins une fois par minute au cours d’une conversation.

Etant donné que nous faisons tous l’expérience de la négativité ou de situations non désirées dans notre vie, c’est un terrain d’entente sûr lequel nous pouvons tous nous identifier.

En fin de compte, rien ne change vraiment grâce à nos plaintes ou tous les sentiments et pensées négatifs que nous dissipons et qui finissent par nous affaiblir.

Axés à l’origine sur le négatif comme un moyen de survie, nous aurions tendance à être plus en accord avec ce que nous ne voulons pas ou apprécier de le changer (d’y apporter un changement). Plus nous posons notre regard sur quelque chose qui peut être blessant, plus nous sommes programmés pour être sur nos gardes.

Se plaindre est une façon de reconnaître un problème sans essayer de le régler. Cela alimente le problème avec plus d’énergie et crée plus de stress. Les plaintes sont à égalité avec le tabagisme lorsqu’il s’agit de notre système de soins de santé.

Le stress causé par le fait de se plaindre endommage constamment les neurones dans l’hippocampe et altère sa capacité à créer de nouveaux neurones ou des chemins neuronaux. L’hippocampe est la partie du cerveau utilisée pour résoudre les problèmes et le fonctionnement cognitif.

Lorsque vous écoutez quelqu’un d’autre se plaindre cela vous affecte de la même manière que si c’était vous-même qui vous plaigniez. Voici quelques façons de limiter les effets de la plainte.

Se plaindre rend malade soi-même et les autres

Définissez la plainte, suivez sa fréquence et prenez conscience à chaque fois que vous vous plaignez et pourquoi vous le faites

Une plainte et une constatation sont différentes dans le sens où l’une est une déclaration et l’autre est un sentiment ou une opinion jointe à la déclaration. « Il fait vraiment chaud à l’extérieur » est une observation. Elle devient une plainte lorsque vous y ajoutez « Il fait vraiment chaud à l’extérieur, et je commence en avoir marre ».

Soyez attentif lorsque vous annoncez une plainte et jusqu’à quel point vous le faites. Vous pouvez le faire devant votre écran ou même en vous parlant à vous-même. Comprendre à quel point cela est un vrai problème est une première étape.

Prenez vos distances avec les pleurnicheurs incorrigibles

Maintenant que vous savez à quel point il est nuisible d’être entouré de personnes qui se plaignent constamment. Si vous êtes coincé dans une situation ou un lieu, essayez d’être proactif et productif vis à vis des problèmes, et proposez des solutions.

Transformez la plainte en quelque chose d’autre

Par exemple avec des déclarations positives telles que, « Je n’aime pas conduire pour aller au travail, mais je suis reconnaissant d’avoir un emploi ». Ne laissez pas vos paroles finir sur une note négative.
Une autre excellente façon de le faire est par le changement, le « Je dois aller au travail » peut être remplacé par, « J’ai la chance d’aller travailler aujourd’hui ».

Une des meilleures façons de retirer les déclarations négatives dans votre vie est en retirant de vos phrases le mot “Je” ou “Moi”. Faites ce que vous avez à faire mais évitez de tirer l’attention sur vous-même si vous ne parvenez pas à être positif.

Liens de ressources :

  1. https://www.inc.com/jessica-stillman/complaining-rewires-your-brain-for-negativity-science-says.html
  2. https://www.psychologytoday.com/blog/the-athletes-way/201301/cortisol-why-the-stress-hormone-is-public-enemy-no-1
  3. https://psychpedia.blogspot.ca/2015/11/the-science-of-happiness-why.html
  4. https://www.apa.org/helpcenter/stress-body.aspx
Sandra Véringa

Source : Une nouvelle recherche révèle que se plaindre aurait de mauvaises conséquences

Un protocole de recherche sur la cohérence cardiaque chez les sportifs

Grâce à des milliers d’études réalisées par le corps de recherche médicale, on sait que la cohérence cardiaque fonctionne, et on en connaît même de mieux en mieux les effets bénéfiques et l’impact bienveillant sur le fonctionnement de notre corps.
Pour ceux que ça intéresse, voici décrit ici un processus de recherche sur les effets de la cohérence cardiaque, et les premiers résultats découverts


VFC, cohérence cardiaque et respiration contrôlée : comprendre le protocole de recherche | Sciences Nat’, lycée comte de Foix

Publié le 21 février 2014

Damien Saboul et Pascal Balducci travaillent sur l’étude de la Variabilité de la Fréquence Cardiaque (=VFC) chez les athlètes. Ils cherchent, par des mesures régulières, à mesurer l’état de fatigue, ou de forme, des athlètes dans le but d’optimiser la planification de l’entraînement.

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3 stratégies pour gérer les pensées obsessionnelles

Idées noires, pensées obsessionnelles, préoccupations mentales négatives… Elles sont capables de nous ronger au point d’empêcher notre sommeil et de peser sur notre vie.

Il existe des astuces pour les apaiser et retrouver un peu de sérénité – même s’il sera nécessaire, pour les vaincre, de faire un vrai travail thérapeutique.


3 stratégies pour gérer les pensées obsessionnelles

5 août 2018 – Source : Nospensées.com

Gérer les pensées obsessionnelles est une tâche ardue. Cela nécessite une volonté et une discipline énormes. C’est un combat sans trêve contre nos propres ressources mentales, souvent inconscientes. De plus, seuls ceux qui sont victimes de ce type d’idées savent combien il peut être difficile de s’en détourner. Une partie de nous veut quitter l’enclos, une autre partie lutte farouchement pour que tout reste pareil.

Pour gérer les pensées obsessionnelles, la première étape consiste à comprendre de quoi il s’agit. Sont baptisées de ce nom ces idées intrusives qui tendent à se fixer à l’esprit et, dans de nombreux cas, deviennent récurrentes. Elles se présentent à nous de manière involontaire. Elles Continuer la lecture

Les pouvoirs de la respiration

Quand “Cerveau & Psycho” s’intéresse ce mois-ci aux effets de la respiration, un grand dossier complet dans lequel est passée en revue ce que le magazine nomme à juste titre l’énergie solaire du monde de la relaxation !

Et la cohérence cardiaque telle que je vous l’apprends au cabinet y est abordée pour les mêmes raisons que je vous l’apprends : en tant que régulateur du cerveau contre le stress, l’anxiété, l’insomnie, les vicissitudes de la vie…

Alors, qu’est-ce que vous attendez ?!

Les effets de la respiration sur le cerveau

… Un sommaire alléchant :

Dossier

Comment la respiration synchronise le cerveau Neurosciences
Comment la respiration synchronise le cerveau
Souffle et cerveau sont si étroitement liés que la respiration a une influence décisive sur notre psychisme. Elle module aussi bien la conscience de soi que les capacités cognitives et Continuer la lecture

Respirez pour moins grignoter

Pour mes consultants qui grignotent parce qu’ils sont stressés, je leur apprends la cohérence cardiaque 365, telle qu’enseignée par le Dr David Servan-Schreiber et le Dr David O’Hare.

Pourquoi ? Bah, parce que si on se sent plus tranquille, on n’a plus besoin de grignoter !…


Par Sylvie Riou-Milliot le 26.04.2017 à 09h17

Déjà utilisée dans la gestion du stress, la cohérence cardiaque s’utilise également dans les troubles du comportement alimentaire. Une application gratuite permet de la pratiquer, sur la base de petits exercices de respiration.

Cette technique de relaxation se base sur des exercices de respiration pour ralentir le rythme cardiaque.

Cette technique de relaxation se base sur des exercices de respiration pour ralentir le rythme cardiaque. © VOISIN / Phanie / AFP

CYCLES. La cohérence cardiaque vous connaissez ? Cette pratique respiratoire induite (lire l’encadré ci-dessous), facile à pratiquer et accessible à tous, permet en quelques minutes de remettre en phase le cœur et la respiration par des cycles d’inspiration et d’expiration.

Recommandée par la Fédération française de cardiologie, elle est utilisée de longue date comme outil de Continuer la lecture

Etre perfectionniste, le pire des défauts

On est parfois très perfectionniste. Parce qu’on voudrait être parfait. Pour qu’on nous aime, pour qu’on soit le meilleur, pour qu’on soit simplement bon, pour qu’on atteigne le but fixé, pour… (et ce n’est pas les raisons qui manquent !)

Mais qu’est-ce que c’est difficile, d’être parfait ! Ca met de pression de fou ! Et quand on y arrive enfin, plus question de rater : il faut continuer à être parfait. Et là, patatras ! On entame un cercle vicieux qui finit par nous faire échouer : charge mentale, stress, anxiété, prise de poids, burn out etc… Alors, et si chercher à atteindre la perfection était finalement un défaut ?


Être perfectionniste, le pire des défauts

Par Emmanuelle Ringot
Publié le 06/06/2018 à 15:04

perfectionniste le pire des defauts

S’il y a bien un défaut à ne pas confesser en entretien d’embauche, c’est le perfectionnisme. Outre son utilisation galvaudée par bon nombre de candidats, ce trait de caractère cache également de nombreuses faiblesses et peut entraîner un mal-être psychique général.

Perfectionniste. C’est le trait de personnalité le plus cité en entretien quand un recruteur demande avec malice quels sont les trois défauts majeurs d’un candidat. Cette réponse, en plus d’être galvaudée, pourrait avoir d’autres implications bien plus importantes sur le comportement et Continuer la lecture

La gestion du stress des pilotes de chasse

Pour ceux de mes consultants qui viennent avec une problématique parfois aigüe de stress et d’anxiété, je leur apprends la cohérence cardiaque.

Et dernièrement, il m’a été demandé si c’était vraiment efficace… A tel point que pour la première fois depuis longtemps, l’exercice a été refusé au motif que “respirer, ça ne peut pas faire autant d’effets, sinon ça se saurait !”…

Sachez donc qu’il y a plus de 15 000 études médicales à ce jour documentant la cohérence cardiaque et ses effets. Non seulement sur le stress, mais aussi sur des pathologies aussi diverses et variées que l’hypertension artérielle, la fibromyalgie, la dépression, la dépression postnatale, les douleurs chroniques de la nuque liées au stress, la gestion des émotions négatives, la résistance à la frustration, la cognition et la mémorisation, la faculté de concentration, le TDHA, la perte de poids, etc…

Aussi, pour preuve, vous allez observer en situation, dans cette video de 3 mn, des pilotes de chasse français s’entraînant au contrôle de soi et à l’amélioration de leurs réflexes grâce à un logiciel de cohérence cardiaque du type de celui que j’utilise en cabinet !

Alors, convaincu(e) ?


Emission E=M6 du 23 janvier 2011 régulièrement rediffusée : reportage sur la gestion du stress et des émotions par les pilotes de chasse par l’utilisation de la technique de la cohérence cardiaque. L’armée de l’air a mis en place des protocoles de cohérence cardiaque pour améliorer l’efficacité de ses pilotes de chasse au cours des combats aériens.

La vidéo explique comment les pilotes parviennent à réguler leur rythme cardiaque afin de réduire leur niveau de stress, et à augmenter leur vigilance.

La cohérence cardiaque permet à la fois de diminuer très rapidement les symptômes du stress et de prévenir le stress, elle est aussi efficace en pleine crise de stress et de rester étonnamment calme.

On peut voir que les pilotes s’entraînent à faire de la cohérence cardiaque à l’aide d’un logiciel et d’un capteur de pulsations. En ralentissant leur respiration, ils vont pouvoir synchroniser leur respiration avec leur rythme cardiaque. 3 à 5 minutes de cet exercice parfaitement maîtrisé, procure 5 heures de détente.

Source : Youtube et ifemdr.fr

Lutter contre le stress

Bien que cet article n’aille pas jusqu’au bout de sa promesse (il ne donne aucune recette pour entraîner son cerveau afin de véritablement lutter contre le stress), il a le mérite d’expliquer d’une autre manière le phénomène de stress que j’explique à mes consultants lors de la présentation du travail de cohérence cardiaque.

Trop de stress (qui fait partie des 6 principales causes de décès) active les glandes surrénales par l’intermédiaire de l’amygdale, qui vont sécréter de l’adrénaline et du cortisol, et préparer le corps (et l’esprit) à la fuite ou au combat.

Tandis qu’un petit peu de stress permet de faire sécréter en bonne quantité une hormone qui va booster les méninges, la norépinéphrine. Celle-ci va permettre au cerveau d’atteindre sa capacité de fonctionnement optimal. Les connexions neuronales s’y multiplient, tandis que s’opère une meilleure communication entre les différentes zones du cerveau.

Tout dépend donc de la quantité, de la durée et de la manière dont vous l’interprétez et le percevez. Et en cabinet, je vous apprends justement à gérer votre stress pour vous en faire un allié…


 Effet keep cool

14 Juin 2016

Entraîner son cerveau pour lutter contre le stress, c’est possible : voilà comment

Les avancées scientifiques sur le fonctionnement du cerveau permettent de mieux comprendre les mécanismes du stress, et donc d’apprendre à mieux le maîtriser afin d’en faire une force positive.

Entraîner son cerveau pour lutter contre le stress, c'est possible
Atlantico : Ian Robertson, neuroscientifique au Trinity College de Dublin, explique dans son dernier livre que nous pouvons “modifier la chimie de notre cerveau comme le ferait n’importe quel antidépresseur ou anxiolytique, mais nous devons prendre certaines habitudes pour y parvenir“. Que veut-il dire par là ? De quelles habitudes s’agit-il et comment s’explique ce phénomène ?

Jacques Roques : Pour comprendre la théorie de Ian Robertson, définissons d’abord neurologiquement ce qu’est le stress.

Le stress est déclenché par une partie phylogénétiquement ancienne du cerveau : l’amygdale. ​ ​Les informations émanant des sens – perceptions visuelles et sons pouvant signaler un danger – rejoignent plus rapidement l’amygdale que le néocortex, structure plus jeune du cerveau, où sont élaborés des processus supérieurs tel que le raisonnement.

L’amygdale envoie alors des messages chimiques qui déchaînent une cascade de réactions au niveau du cerveau et de l’organisme en général (la tension artérielle monte, le rythme cardiaque s’accélère, le sang afflue dans la musculature des quatre membres, les processus digestifs sont momentanément interrompus, les récepteurs de la douleur réprimés). Continuer la lecture

Lutter contre le stress des examens grâce à l’hypnose

Voilà, c’est la dernière longueur pour beaucoup de jeunes : derniers partiels, épreuves de bac écrites, prise de parole devant un jury… Le stress des examens monte et fait douter de sa réussite ? Et si vous faisiez appel à l’hypnose, pour mettre vraiment toutes les chances de votre côté ? Comme cette collègue, en cabinet, j’utilise également l’EFT en plus de l’hypnose, et aussi le RITMO, une technique dérivée de l’EMDR renforcée par l’hypnose – et donc doublement efficace.

Encore une fois, prévoyez du temps pour ce travail : 1 seule séance pour régler tout ça, c’est irréaliste et même néfaste, car ça risque de renforcer la croyance que “rien ne marche” 🙁 alors que bien souvent, ce stress ne fait qu’augmenter au fur et à mesure des années de scolarité : quelques heures de travail en séance pour contrebalancer plusieurs années de stress, avouez que c’est un bon rapport qualité-temps 😀 !


  Actualité  

Lutter contre le stress des examens grâce à l’hypnose

Publié le 02/06/2016

Combattre le stress des examens par l'hypnose

Vous avez tout essayé pour combattre le stress qui vous empêche de réussir vos examens. Bien manger, vous coucher tôt, prendre des cours de yoga, écouter de la musique pour vous détendre, rien à faire, il vous poursuit. Et si l’hypnose pouvait résoudre votre problème de stress aux examens ? C’est ce que nous promet Élodie Repellin, fondatrice de Trust You, l’agence de la confiance en soi. Sa méthode : vous apprendre à « gérer » votre cerveau.

Élodie Repellin

Propos recueillis par Aziza Sellam

Quelles sont les causes du stress aux examens ?

«  Il existe plusieurs sources de stress aux examens. Mais il faut différencier bien évidemment le bon stress qui va donner de l’énergie, un désir d’apprendre, de réviser, d’être à la hauteur de ses espérances et du mauvais stress. Le mauvais stress est celui qui, avant l’examen, bloque la concentration, la mémorisation, la capacité d’organisation et de priorisation des révisions. L’élève peut avoir ce sentiment qu’il n’aura jamais le temps de Continuer la lecture